De nouveau Sophie nous reproche de ne pas saisir, à l’évocation de certaines considérations sur le vent, la poussière, la Trappe et son « soleil noir »
, occasion d’élévation spirituelle en traitant du cloître et de l’archétype monacal plutôt que de rester empêtré dans une atmosphère belliqueuse toute en admiration pour le guerrier de jadis ou les « fallacieux soleil d’or et autres apparats de la mégalomanie politique ».
Si comme nous l’avions vu dernièrement le